Générations Entreprenantes par Sowalfin

« J’ai toujours voulu entreprendre, alors même que personne dans ma famille n’est entrepreneur, car j’ai toujours plein d’idées et j’adore mener plusieurs projets à la fois.

J’étais dans une école entrepreneuriale, où j’ai rencontré un coach qui m’a proposé une formation sur l’entrepreneuriat en cours du soir gratuite, afin que je vois si cela me correspond. J’ai complètement accroché et j’ai décidé de m’inscrire dans un incubateur étudiant afin de lancer mon 1er projet.

Le but était d’organiser des soirées étudiantes mais j’ai réalisé que ce projet était risqué et je l’ai donc mis en pause. J’ai alors décidé de créer une A.S.B.L, « Dans ma ruche », qui a pour but d’aider les écoles à lutter contre le harcèlement scolaire. C’était déjà le sujet de mon mémoire. Aujourd’hui, je travaille à mi-temps en tant que directrice de crèche et consacre le reste de mon temps à mon A.S.B.L. »

Lorsque que nous étions en 2ème bac, nous avons participé au programme Startech. Le but était de développer un projet à la fois technique sur sur la technologie solaire et entrepreneurial, avec le développement d’un business plan, etc.

Startech nous a permis d’acquérir des connaissances entrepreneuriales que nous n’avions pas et nous a permis de nous lancer dans la technologie solaire, qui est aujourd’hui la base de notre entreprise.

C’est grâce à Startech que nous nous sommes rendus compte que nous voulions être entrepreneurs. Notre projet a été jusqu’en finale et nous avons gagné le concours, ce qui nous a permis de partir aux U.S.A. pour présenter notre produit.

Après la finale, nous sommes directement entrés dans l’incubateur, où nous avons pu jusqu’à la fin de nos études, développer notre projet. Après notre diplôme, la question ne s’est même pas posée : Nous lancions Sunslice !

« Je baigne depuis toujours dans le milieu de l’entreprise car mes parents sont indépendants, j’ai donc toujours su que je voulais être à mon compte. J’ai déjà un projet de vente de cosmétiques à base de produits malgaches en cours, Harena naturel. J’ai vécu à Madagascar jusqu’à mes 10 ans, je souhaite donc mettre en avant mon pays d’origine.

J’étais dans une école entrepreneuriale, ce qui m’a permis de participer au programme « Yep » et de réaliser un TFE sur l’entrepreneuriat féminin. Grâce au « Yep », j’ai pu me familiariser avec le monde de l’entreprise, imaginer un projet d’entreprise en équipe et me rendre compte que je souhaite développer mon projet seule. Aujourd’hui, je suis dans un incubateur étudiant qui a pour but de m’aider à développer mon projet.

Toutes ces opportunités m’ont donné confiance et aujourd’hui je suis déterminée à mener à bien mon projet. »

« Pour mon TFE, j’ai participé au programme de Mini-entreprise. Sur un an nous devions créer et défaire une entreprise. Nous avons dû, pour ce faire, suivre des étapes : former une équipe, choisir le produit, réaliser une étude de marché, trouver un fournisseur, un revendeur, écrire un rapport de gestion, etc.

Nous avons décidé de créer : Gab’s Beer et vendre de la bière sans alcool.

Nous avons eu la chance de participer à la finale.

Cette expérience m’a beaucoup appris sur le monde de l’entreprise, comment faire une étude de marché, un rapport de gestion, etc. Elle a aussi confirmé mon envie de créer mon entreprise et de me lancer dans des études d’ingénieur de gestion. Je souhaiterais d’ailleurs profiter de mon statut d’étudiant pour lancer ma boîte et m’inscrire dans un incubateur. »

Encore adolescent, j’ai entamé un programme sportif pour me sentir plus à l’aise avec mon corps. Je me rends alors compte en sortant des salles que je fréquente qu’il m’est impossible de manger sur le pouce une nourriture saine et équilibrée qui répond à mes besoins…

A 18 ans seulement, je décide de combler ce manque en proposant une gamme de restauration rapide saine adaptée aux besoins des sportifs. C’est avec cette idée que je passe la porte d’un incubateur étudiant.

Très vite, mon coach au sein de l’incubateur m’aide à structurer mon projet en étapes pour tendre progressivement vers mon rêve.

D’abord, la création d’un e-shop d’aliments nutritifs. Objectif ? Gérer un premier projet de A à Z et me constituer un capital pour mon projet définitif.

Fort de ma capacité à convaincre, j’ai pu embarquer dans mon aventure un chef cuisinier et un nutritionniste de haut vol. De plus, j’ai réussi à lever les fonds suffisants auprès d’investisseurs pour lancer Shape’n Go 2 ans plus tard.

Aujourd’hui, le premier Shape and Go est ouvert. J’envisage l’avenir en créant d’autres points de vente… Un rêve qui ne fait que débuter !

« J’ai découvert l’entreprenariat en plein décrochage scolaire. J’étais alors en 3ème Bac d’économie et pour me rebooster, je me suis inscrit dans la Junior Entreprise de ma faculté, la JEWACS. La Junior Entreprise a pour but de fournir une première expérience du monde de l’entreprise aux étudiants. J’ai aussi commencé un master en entrepreneuriat. La combinaison des deux, m’a permis de réaliser que j’avais un esprit d’entreprendre et que l’entrepreneuriat me faisait vibrer.

Je me suis de plus en plus investi dans la JEWACS, jusqu’à en devenir le président, ce qui a été une révélation sur mon orientation professionnelle. J’ai ensuite découvert Ustart dont je fais désormais partie. Nous organisons des conférences pour informer les jeunes sur l’entrepreneuriat.

Aujourd’hui, je me sens plus que prêt à me lancer dans un projet d’entrepreneuriat. »

« Lorsque j’étais en 2ème bac d’ingénieur de gestion, j’ai rejoint avec une amie la Junior Entreprise de ma fac, HEC Advisory. A ce moment-là, je n’avais pas encore conscience de ce qu’elle allait m’apporter mais je trouvais simplement l’idée sympa. Par le passé, je m’étais déjà investie dans les scouts en tant que cheffe et j’adorais ça. Je ne le savais pas, mais le scoutisme est une sorte d’entrepreneuriat.

Après 2 ans en tant que simple membre, je suis devenue la présidente. Cette année de présidence a été une expérience incroyable. J’ai pu y développer beaucoup de compétences entrepreneuriales et j’ai compris qu’entrepreneuriat, ne signifie pas forcément lancer sa start-up. J’ai surtout acquis la capacité d’apprendre sur le terrain, ce que je considère comme essentiel dans la vie active.

Actuellement, je n’ai pas le projet de lancer mon entreprise mais pourquoi pas un jour reprendre une entreprise. »

Mon parcours avec l’entrepreneuriat est assez atypique car il commence alors que je suis très jeune. A 12 ans, je décide de m’exercer aux maths sur un site web. J’y passe tellement de temps que le fondateur du site me nomme co-fondateur. A 14 ans, je m’inscris à un incubateur étudiant, ce qui n’est normalement pas possible à cet âge. Mon projet est de vendre des montres, mon coach me trouve alors un stage dans une start-up lié à ce domaine. Ce sera une expérience incroyable.

En rhéto, je participe au programme de mini-entreprise avec un ami. Nous imaginons alors une entreprise d’évènementiel miTik Events. Nous organisons un concert au sein de l’école, qui sera un vrai succès.

Que ce soit l’incubateur ou la mini-entreprise, les deux m’ont ouvert un monde m’ont aidé à comprendre qui j’étais et m’ont fait découvrir l’entrepreneuriat. Aujourd’hui, j’ai envie de continuer à apprendre pour être capable d’agir sur le monde.

Depuis le secondaire, je suis intéressé par l’entrepreneuriat mais ce qui m’a réellement lancé dans cette direction est une rencontre avec un entrepreneur. Grâce à lui, j’ai pu voir quelles étaient mes possibilités d’entrepreneuriat.

Après cette rencontre, j’ai développé mon 1er projet : la poubelle intelligente Neurogreen. Ce projet m’a été inspiré par mon campus et ses problèmes de tri car j’adore résoudre des problèmes.

En bac 1, j’ai pu bénéficier du statut étudiant-entrepreneur pour développer mon 1er prototype. J’ai aussi participé à un concours en entrepreneuriat où un jury a pu juger mon prototype et j’ai installé mon prototype sur le campus de mon établissement. Enfin, j’ai pu, pendant deux ans, profiter de l’accompagnement d’un incubateur étudiant, ce qui m’a permis d’avoir des contacts avec des établissements que je fournis désormais.

« Dans le cadre de notre enseignement en haute école, nous avons participé au programme « Startech », dans lequel nous devions développer un projet et le présenter. Nous avons eu l’audace de choisir un projet très difficile techniquement. Ce qui avec le recul et par rapport au temps imparti nous fait dire que nous n’avons pas pu profiter de cette expérience à son maximum car nous avons fait un mauvais choix de projet.

Néanmoins, cette expérience nous a quand même permis d’en apprendre beaucoup plus sur nous-mêmes. Nous avons dû apprendre à gérer un timing, à nous organiser d’une manière efficace et surtout, collaborer avec l’autre. Malgré tout, nous ne sommes pas opposées à l’idée d’un jour entreprendre mais nous savons désormais qu’entreprendre n’est pas facile, qu’il faut beaucoup de motivation et de courage pour ne pas baisser les bras lors d’un échec. »

« L’entrepreneuriat a commencé pour moi dès la 5ème secondaire avec le programme des mini-entreprises. Cette 1ère expérience a été une révélation car je me suis rendu compte que j’adorais créer des projets et que je voulais lancer ma start-up.

L’année suivante, je me suis donc inscrit dans un incubateur étudiant où j’ai vraiment pu développer mon projet, Blackcom, une boîte de communication. L’incubateur m’a permis de me remettre les pieds sur terre, de me donner de nouvelles idées, d’avoir des contacts avec des entrepreneurs et surtout des ressources. C’est pour tous ses avantages que pour moi, aller dans un incubateur en tant que jeune entrepreneur est essentiel. Aujourd’hui, je suis complètement addict à l’entrepreneuriat, je travaille d’ailleurs sur une nouvelle start-up, Start-up Studio. »

« J’ai depuis toujours une passion dévorante pour les reptiles. Ce sont pour moi des animaux incroyables, capables de tellement de choses. En rhéto, mon école a organisé une journée métier et à la suite de celle-ci, j’ai décidé de m’inscrire dans un incubateur étudiant afin de lancer mon projet.

Là-bas, j’ai reçu beaucoup de conseils qui m’ont permis de donner naissance à un projet concret et réfléchi. C’est comme ça qu’est né « Bo-reptiles ». Il s’agit de mon entreprise, elle propose du matériel pour améliorer le confort des animaux exotiques en captivité. Pour l’instant, je commence mes études en agronomie mais je fais en même temps tourner ma boîte, ce qui demande beaucoup de travail et de sacrifices mais c’est une expérience tellement enrichissante. Je sais déjà où je vais à la fin de mes études : vers ma passion. »

« J’ai toujours eu la volonté de devenir indépendant, même si je n’y connaissais encore rien en entrepreneuriat. A ma sortie du secondaire, je me suis lancé dans des études de commerce et j’ai fait une spécialisation en entrepreneuriat. C’est pendant cette spécialisation que je vais activement y prendre goût. En dernière année, je vais avoir l’occasion de participer à un cursus entrepreneurial, pour lequel j’ai dû m’associer avec d’autres personnes afin de développer un projet ensemble.

Nous avons alors décidé de nous lancer dans l’industrialisation du chanvre car nous nous sommes rendus compte qu’il n’y avait encore personne sur le marché. Après cela, j’ai lancé mon entreprise IsoHemp alors que j’étais encore aux études. Aujourd’hui, cela fait 8 ans que ma boîte existe et prospère, nous sommes une équipe de 30 personnes et nous partageons des valeurs de durabilité écologique et de circuit-court. »